Séjour où des corps vont cherchant chacun son stratège. Assez stratégique pour permettre de tirer en vain. Assez restreint pour que toute hécatombe soit vaine. C'est l'intérieur d'un bombardement terrible ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la chevauchée. Offensive. Sa cartouche. Son pillage. Son armure comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la guerre totale émettaient chacun sa position. Le massacre qui l'agite. Il s'entraîne de loin en loin tel un bunker sur sa fin. Tous se replient alors. Leur obus va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout contre-attaque.
Bidouille (Nordmann)
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